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Les plantes diurétiques

un champ de pissenlit, une plante diurétique

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  1. Le pissenlit
  2. La prêle des champs
  3. Le genévrier
  4. Le persil
  5. L’hibiscus
  6. Le bouleau
  7. L’ortie
  8. La piloselle
  9. Le chiendent
  10. Le sureau noir
  11. Le frêne
  12. L’orthosiphon ou thé de java
  13. La reine-des-prés
  14. La queue de cerise ou pédoncule du griottier
  15. L’aubier de tilleul

La rétention d’eau est une affection non grave mais fréquente et gênante. Elle provoque des oedèmes, souvent des membres inférieurs mais peut aussi gonfler les doigts voire le visage.

Certaines pathologies graves et traitements médicaux peuvent en être à l’origine, mais la plupart du temps cela est surtout du à des dysfonctionnements hormonaux, une mauvaise circulation veineuse, une hypothyroïdie, un stress important (ou une mauvaise gestion du stress)… N’oubliez pas de bien identifier puis traiter la cause !

Voici également des plantes circulatoires et hépato-diurétiques, qui vous aideront à mieux éliminer l’eau en excès.
Nota Bene : il est souvent important de prendre en parallèle des compléments riches en minéraux et oligo-éléments, pour compenser les pertes minérales. Par ailleurs, n’espérez pas perdre de poids durablement avec ces plantes, elles ne sont pas faites pour cela !

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Le pissenlit

le pissenlit, une plante diurétique

Probablement originaire de l’Europe de l’Ouest, le pissenlit pousse un peu partout dans le monde. Son nom latin Taraxacum officinale vient du grec taraxis, trouble des yeux et akeomai, guérir. On l’a en effet traditionnellement utilisé pour les maladies de la vue ! Pour ce qui est de son nom commun pissenlit viendrait tout simplement de “pisser en lit“, autrement dit uriner au lit. Cette étymologie en dit long sur ces propriétés diurétiques.

Le pissenlit comprend de nombreux actifs : l’inuline, la taraxérine, des principes amers, des enzymes et des saponines, de nombreux sels minéraux. Il est aujourd’hui largement utilisé pour ses remarquables propriétés diurétiques, son rôle dépuratif et son influence positive sur les fonctions hépatiques. Il peut aider à soulager les excès d’acidité, contribuer à mieux éliminer l’acide urique, améliorer certains états rhumatismaux, faciliter la digestion.

On l’utilisera sous forme de tisanes, d’extrait fluide ou de poudre de plante. Les parties actives de la plante sont les racines et les feuilles.

Une cure de pissenlit est vivement conseillée au printemps et à l’automne, pour fortifier et nettoyer l’ensemble de l’organisme.

Le pissenlit est traditionnellement utilisé pour ses propriétés diurétiques, notamment en cas de :

  • Rétention d’eau/oligurie
  • Cellulite avec œdème

On l’utilise aussi pour ses propriétés digestives :

  • Effet cholagogue et cholérétique (fabrication et excrétion de la bile) : permet d’améliorer la digestion des graisses et une digestion paresseuse globalement ainsi que de la constipation en lien avec un défaut de bile.
  • Action hépato-protectrice
  • Anorexie, perte d’appétit

A noter que la prise de pissenlit est déconseillée chez les personnes qui présentent des calculs biliaires ou une insuffisance rénale.

La prêle des champs

prêle des champs

La prêle des champs, d’apparence fine et frêle, est surnommée « queue de cheval ». Cela est tiré de son nom latin equisetum en latin. Malgré cette apparence fragile, elle est très riche en acide silicique et en minéraux (fer, potassium, calcium, manganèse) en flavonoïdes, glycosides, composés amers … C’est également l’une des plantes les plus riches en silice, seul le bambou en contient autant.

C’est une plante herbacée qui pousse jusqu’à 2 500 mètres d’altitude ! Elle est très répandue dans toute l’Europe, ainsi qu’en Amérique du Nord et Asie du Nord. Elle pousse sur des terrains humides, argileux et siliceux. Dépourvue de fleurs et par conséquent de graines et de fruits, c’est son rhizome noir souterrain d’où partent des radicelles que l’on utilise.

Outre son action reminéralisante, l’un des intérêts majeurs de la prêle réside dans son effet diurétique (grâce aux flavonoïdes). On l’utilise depuis toujours en médecine traditionnelle pour aider à soulager les méfaits de l’excès d’acidité dans le corps, les problèmes articulaires et rhumatismaux. En cure de longues durées, saisonnières et associée à l’ortie, la prêle rend de grands services pour les personnes souffrant d’affections articulaires et rhumatismales.

On l’utilise sous forme d’infusion, de macération à froid mais aussi sous forme d’extrait fluide ou de poudre de plante sèche.

Bien sûr, on l’utilisera avec prudence chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale.

Attention à ne pas confondre la prêle des champs et la prêle des marais (Equisetum palustre), cette dernière contenant des composés (alcaloïdes) toxiques.

Le genévrier

genévrier

Le genévrier est un arbuste vivace répandu dans les régions montagneuses, jusqu’à 2000m d’altitude. On l’appelle aussi « Thériaque du paysan », son nom latin est Juniperus communis L.

Ce nom vient du celte, “Gen” signifie “buisson” et “Prus” signifie “âcre”. On utilise sa baie, riche en actifs aromatiques terpéniques, en tanins, résines, acide acétique et formique, flavonoïdes (rutine, quercitrine, apigénine entre autres), coumarines, junipérine (lactone) et enfin en sels minéraux (potassium, calcium et manganèse). Cela confère au genévrier une action réchauffante, antiseptique, purifiante.

On utilise traditionnellement le genévrier pour éliminer l’eau en excès dans les tissus, diminuer l’acide urique, les acidités, les toxines articulaires. Il est également utilisé en soutien de cure amincissante, en complément d’un régime alimentaire équilibré bien sûr. Enfin, on peut l’utiliser pour soulager des troubles digestifs : crampes d’estomac mais aussi flatulences.

On utilise les baies de genévrier pour ses effets diurétiques et pour aider à lutter contre les troubles urinaires et rhumatismes, en consommant des décoctions mais aussi en frictionnant les zones douloureuses avec de l’huile essentielle diluée (5%).

On peut également consommer des infusions pour soulager les troubles digestifs de type flatulences, ballonnements, grâce aux principes amers contenus dans la junipérine.

Attention à ne pas consommer ces baies pendant la grossesse, en cas d’inflammation des voies urinaires ni en cas d’insuffisance rénale.

Le persil

persil

La feuille de persil (Petroselinum crispum) est bien connue en cuisine ! Elle est très riche en vitamines et minéraux (fer, manganèse, vitamines C et K) mais n’est souvent présent qu’en petites quantités pour agrémenter les recettes. C’est dommage, car outre ces vitamines et minéraux, le persil renferme un flavonoïde anti-oxydant puissant, l’apigénine, et des quantités appréciables de bêta-carotène et de lutéine (presque autant que la carotte).

De par ses nombreux composés, le persil est diurétique, tonique, stimulant digestif, vasodilatateur sur les vaisseaux sanguins. Il a une action oestrogénique : emménagogue (provoque les menstruations), soulage les dysménorrhées (douleurs menstruelles) et d’une manière générale, les troubles menstruels.

On l’utilisera sous forme de tisanes de feuilles, sa racine et ses graines peuvent également être utilisées. A dose élevée, son huile essentielle a des effets abortifs et hallucinogènes, on l’utilisera donc avec une grande prudence. Pour l’effet diurétique, on conseille une infusion de 2 cuillères à café de racine écrasée pour 1 tasse d’eau, plusieurs fois par jour.

L’hibiscus

hibiscus

L’hibiscus, également nommé karkadé, compte des centaines de variétés. Il est originaire d’Égypte et d’Asie et se présente sous la forme d’un gros arbuste aux belles fleurs ornementales. Les fruits sont des capsules comestibles et l’on consomme également ses feuilles comme légume. C’est donc une plante très complète, mais ce sont surtout les fleurs qui sont utilisées pour leurs vertus thérapeutiques ; elles servent également à préparer des boissons désaltérantes et tonifiantes.

Les fleurs sont très riches en vitamine C, ce qui en fait une plante tonifiante, stimulantes des défenses naturelles, sous réserve de les sécher et infuser à basse température, la vitamine C étant sensible à la chaleur. Par ailleurs, la pharmacopée traditionnelle prête à certaines variétés d’hibiscus des propriétés calmantes, drainantes, émollientes, diurétiques.

Le bouleau

bouleau

Le bouleau est un arbre bien connu et répandu en Europe. Les feuilles de bouleau sont excellentes pour activer les émonctoires (organes d’élimination) de l’organisme, particulièrement le système rénal. On conseille les feuilles de bouleau notamment pour aider au contrôle du poids, mais aussi pour aider à mieux éliminer les excès d’eau dans l’organisme, notamment pour les cellulites non fibreuses, et soulager les douleurs articulaires. Les feuilles de bouleau sont riches en flavonoïdes, vitamine C et acide bétulique.

Le « jus » de bouleau est extrait des feuilles, tandis que la sève, proposée fraîche au printemps, est extraite du suc résineux directement sur le tronc (ceci sans abîmer l’arbre).

Cette cure de printemps, d’une durée de 3 semaines, permet de drainer les reins et reminéraliser tout l’organisme.

L’ortie

ortie

La grande ortie (ou ortie piquante, Urtica dioica) est bien connue pour la brûlure de ses poils urticants ! En cuisine, elle est depuis longtemps utilisée sous forme de potage ou intégrée aux purées.

Mais c’est surtout en phytothérapie que ses parties aériennes (feuilles) sont utilisées, particulièrement contre la rétention d’eau, les articulations douloureuses, les rhumatismes, ou pour contribuer à la reminéralisation : les feuilles sont très riches en calcium et en silice, elles sont recommandées en période de croissance, en cas de fracture ou d’ostéoporose, de problèmes ligamentaires ou tendineux à répétition … On pourra les utiliser sous forme de gélules de poudre sèche ou encore mieux, d’extrait fluide plus concentré et qui préserve mieux les nombreux micronutriments présents.

L’ortie est très fortifiante pour les organismes affaiblis ; elle permet de le reminéraliser et d’équilibrer une acidité excessive, grâce à la présence de nombreux sels minéraux (outre la silice et le calcium, on dénombre le fer, le soufre, le manganèse, le potassium, …), de vitamines et de tanins.

Enfin, il ne faut pas confondre les extraits de feuilles de ceux de la racine, qui renferme des actifs traditionnellement utilisés pour soulager et réduire les troubles de la prostate (par exemple, l’hypertrophie bénigne de la prostate). La racine d’ortie permet également de lutter contre l’alopécie, l’andropause et tous les types d’acné.

La piloselle

piloselle

La piloselle (Hieracium pilosella) est une plante qui peut pousser jusqu’à 2500 m d’altitude sous nos latitudes. C’est la plante entière qui est utilisée en phytothérapie. On l’appelle également « épervière» car on supposait, dans l’Antiquité, que les éperviers s’éclaircissaient la vue avec le suc de cette plante ! La forme de ses feuilles couvertes de poils est à l’origine de son nom « piloselle ».

Cette plante présente des propriétés détoxifiantes et diurétiques, notamment pour les problèmes de cellulite, prise de poids lors du syndrome prémenstruel, diurèse insuffisante, goutte ou lithiases rénales. On l’utilise également en accompagnement d’une insuffisance rénale débutante. Elle peut également être conseillée pour ses propriétés bactériostatiques, notamment en prévention des cystites à E. coli.

Elle ne présente aucune contre-indication et peut donc être utilisée notamment chez la femme enceinte et allaitante.

Le chiendent

chiendent

Cette plante (Elytrigia repens) que l’on appelle également chiendent officinal ou rampant, tirait son nom du fait que les chiens et chats aient l’habitude de se purger en mangeant les feuilles de cette plante ! La forme de ses rhizomes à bourgeons coniques aigus fait également penser à des dents de chien …

On utilise son rhizome, qui contient des polysaccharides (fructanes), des mucilages mais aussi des sels de potassium, des polyols et des saponosides.

C’est surtout comme diurétique et anti-inflammatoire urinaire qu’il se montre précieux. Sa décoction, à raison d’un litre par jour, se révèle d’un grand secours en cas de lithiase rénale, colique néphrétique. Ses propriétés diurétiques lui confèrent des propriétés dépuratives et antirhumatismales.

Le sureau noir

sureau noir

Le sureau noir (Sambucus nigra) est un arbuste aux petites baies noires qui pousse à l’état sauvage dans la plupart des régions tempérées. Il tire son nom latin des petites flûtes (sambuca) que les pâtres grecs taillaient dans le bois tendre du sureau.

Les grecs recommandaient le sureau contre les catarrhes (écoulements nasaux) et les excès de mucus. Fleurs et fruits ont longtemps servi à la fabrication de boissons qui servaient à purifier l’organisme des toxines accumulées durant l’hiver.

Aujourd’hui, les fruits du sureau contribuent à purifier le sang et à activer les processus d’élimination des toxines de l’organisme. Ils stimulent la transpiration, l’élimination rénale et l’expectoration. On l’utilise aussi pour son activité antivirale et anti-inflammatoire (intestins)

Le fruit contient des polyphénols, des huiles essentielles, des vitamines, et des acides (malique, citrique).

Le frêne

frêne

Le frêne (Fraxinus excelsior L. Oleaceae) est un grand arbre qui peut atteindre 25 mètres de haut. On utilise toute la plante : écorce, feuilles, fleurs, étamines, fruits …. Mais pour les propriétés diurétiques, ce sont surtout les feuilles qui sont utiles. Le frêne est une plante aux nombreux nutriments et actifs : fraxine, rutoside (anti-inflammatoire), mannitol, polyphénols (antioxydants), tanins, minéraux (cuivre, fer …), vitamines, …

Les feuilles de frêne sont traditionnellement utilisées pour leurs propriétés diurétiques, dépuratives, anti-acidités, anti-rhumatismales. On peut les prendre à très long terme, sans contre-indication particulière. Elles sont également indiquées pour équilibrer le cholestérol, prévenir les problèmes vasculaires, activer le fonctionnement rénal et hépatique, et soulager les raideurs et les douleurs articulaires.

A noter que l’écorce, quant à elle, fut longtemps utilisée à la place du quinquina (fébrifuge et antipaludique).

L’orthosiphon ou thé de java

L’orthosiphon (Orthosiphon stamineus) est un arbuste du Sud-est asiatique. On l’utilise depuis très longtemps en Indonésie pour soigner les maladies des reins et de la vessie. On récolte les feuilles et les sommités avant la floraison au printemps. En ayurvéda, l’orthosiphon est nommé « thé de Java » et fait également partie de la pharmacopée traditionnelle.

Aujourd’hui, il est largement utilisé pour soulager les cystites et autres problèmes urinaires, mais aussi l’obésité et les foies paresseux. On l’utilise également pour aider à réguler le poids et diminuer la cellulite, en complément d’une alimentation équilibrée.

Ce sont surtout les feuilles qui sont utilisées, sous forme d’infusions, extrait fluide ou gélules d’extrait sec.

L’orthosiphon renferme une quantité importante de potassium, des flavonoïdes, des composés aromatiques, des tanins et des polyphénols.

La reine-des-prés

reine-des-prés

La reine des prés (Filipendula Ulmaria) est une plante commune en Europe. En Sibérie, la reine des prés est consommée comme un légume !

Elle peut atteindre 2 mètres et donne des fleurs blanc crème au parfum sucré. Celui-ci est celui d’un précurseur de l’aspirine, le salicylate de méthyle. Cela fait donc naturellement de cette plante un fébrifuge et anti-inflammatoire.

La reine-des-prés contient aussi de la gaulthérine, du soufre, ce qui renforce ses propriétés anti-inflammatoires et anti-douleurs.

Par ailleurs, on l’utilise traditionnellement en cures saisonnières pour drainer l’acide urique dans l’organisme, accompagner les problèmes de rétention d’eau, soulager les rhumatismes et les articulations. Dans ce cas, ce sont les sommités séchées que l’on fait infuser dans une eau à moins de 90°C (au-delà, les dérivés salicylés s’éliminent). Il est également possible de consommer des gélules de poudre de sommités séchées.

Prudence chez les allergiques à l’aspirine et bien sûr, également chez les personnes sous traitement anti-hypertenseur.

La queue de cerise ou pédoncule du griottier

queues de cerise

Le cerisier est évidemment un arbre bien connu sous nos latitudes. En phytothérapie, on utilise le pédoncule de son fruit : celui-ci est en effet utilisé depuis des siècles comme dépuratif et diurétique, sans effet indésirable.

Les queues de cerises contiennent des mucilages, des flavonoïdes, des tanins mais aussi des sels de potassium, ce qui lui confère ses effets diurétiques.

Les décoctions ou infusions aident à la dépuration, augmentent l’activité rénale en cas d’excès d’eau dans les tissus. Elle est réputée pour accompagner les régimes amincissants, mais finalement ce sont surtout de ces propriétés diurétiques qui sont utiles.

L’aubier de tilleul

aubier de tilleul

Très présent en Europe, le tilleul est un arbre sauvage aux fleurs odorantes.

L’aubier qui nous intéresse ici est en fait « la deuxième écorce » de l’arbre, c’est-à-dire la partie claire et tendre, située entre le bois et l’écorce externe de l’arbre. C’est dans l’aubier que circule la sève.

L’aubier de tilleul active le drainage hépatique et rénal. Sa consommation sous forme de décoction est idéale, car cela permet d’hydrater l’organisme tout en le drainant. Son action est reconnue pour prévenir les petits calculs (ce qui n’empêche pas un suivi médical évidemment). Il contribue à diminuer l’albumine, l’acide urique, et soulage les crises de goutte.

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Auteur : Anne-Lise Collet – Naturopathe et Nutritionniste à Rosheim (67) – choisir-naturo.fr

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